De ses yeux qui me tuent, une larme s'enfuit
Ne s'immobilisant que couchée à ses pieds
Son corps nu et tremblant reprend vie accablée
Une fois le coeur sec, toute raison enfuie
De ses yeux qui me tuent, une haine jaillit
Grandissant peu à peu dans son éternité
La proie devient chasseur à l'instinct aiguisé
Ma conscience me traque et égorge l'oubli
De ses yeux qui me tuent, elle poursuit les miens
Qui fuient vers le salut, cherchent un lendemain
Sens calmés, repentis, savent leur triste sort
Elle arrive à ses fins de ses yeux qui me tuent
Je n'ai qu'un court instant pour attendre la mort
Mon corps est immobile et justice rendue
Clara, novembre 08
Mais ce que c'est compliqué, d'écrire un sonnet!!! Foutu piétage, foutue hémistiche, foutues rimes ABBA ABBA CCD EDE. Rhalala...
samedi 29 novembre 2008
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3 commentaires:
J'en ai assez de toujours arriver sur cette page et de constater qu'il n'y a rien de nouveau...
Non mais, un peu d'action por favor!
Je t'aime quand même, sympathique tulipe
J'approuve entièrement le message de l'anonyme.
C'est bon, c'est bon. Bob, oublie ton roman. Je suis déjà en train d'écrire ton cadeau de fête, ce n'est pas un roman et vous pourrez le lire d'ici une semaine. Patience, sympathique anonyme pas si anonyme que ça et cher cerveau des 2 échalottes.
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